Cookie Elue amie des jardins fleuris
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Nombre de messages : 837 Age : 64 Localisation : ici et maintenant Humeur : optimiste Date d'inscription : 09/11/2007
![Indiana Jones et le Royaume du crâne de cristal Empty](https://2img.net/i/empty.gif) | Sujet: Indiana Jones et le Royaume du crâne de cristal Jeu 29 Mai - 23:43 | |
| Pour les nostalgiques qui ont aimé il y a... 19 ans Indiana Jones et la dernière croisade, et il y a encore plus longtemps... Les aventuriers de l'arche perdue, voici un bon film d'aventures comme il semble ne plus en exister dans le cinéma actuel : des bons et des méchants (Cate Blanchett a dû bien s'amuser ), des cascades, des sables mouvants, des fourmis carnivores, des serpents, la forêt tropicale, de l'humour, un trésor, des espions... Installé dans son fauteuil, on retrouve avec plaisir Indiana Jones (Harrison Ford toujours aussi sexy), qui a vieilli comme nous, qui a toujours autant d'humour, Marion - la "copine" d'Indiana Jones dans Les aventuriers... - (Karen Allen, vraiment rigolote en maman cool). Même si cette aventure est totalement rocambolesque, on se laisse emporter avec le même plaisir que l'on a en grignotant avec nostalgie des fraises tagada. Un petit goût de reviens-y. On ne boude pas son plaisir. Ce n'est pas le film du siècle - loin de là. Mais quand il pleut à verse un dimanche après-midi (après une semaine toute aussi dégoulinante), pourquoi se refuser ce bon moment avec un film qui est tout sauf prise de tête ? :cuore: | |
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Parmigiano Le sourire est un devoir social
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Nombre de messages : 659 Humeur : Moqueuse Date d'inscription : 12/11/2007
![Indiana Jones et le Royaume du crâne de cristal Empty](https://2img.net/i/empty.gif) | Sujet: Re: Indiana Jones et le Royaume du crâne de cristal Dim 1 Juin - 20:58 | |
| c'est tout à fait çà! Le retour du grand cinoche, pas du tout prise de tête mais distrayant. On n'y croit pas une seconde mais on s'amuse bien. C'est toujours autant second degré avec cette fois-ci un regard distancoié du cinéma américain d'aujourd'hui sur le cinéma américain des années 50, ses obsessions et ses fantasmes. Sans oublier quelques savoureuses allusions cinématographiques. Sîelberg prend plaisir à s'autociter mais aussi à parodier les autres. Un cinéma qui a le goût du gros Miko (à cause des Russes) :mauvaisange: | |
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