Jeu : les écrivains ont un visage

Notre Jean Paul national????

Non, avec de superbes guêtres, le poête Max Hermann-Neisse, peint en 1925 par George Grosz.
Voici le même en 1927... dans le même délicieux fauteuil à fleurettes!

oui, bravo Parmigiana Il n'est pas trop difficile de reconnaitre le style de George Grosz, car c'est assez particulier. Ce qui m'a interessé c'est qu'un portrait de Max Herrmznn Neisse est sujet de controverse - et un procès tout récemment intenté contre le MOMA par des heritiers de Grosz qui pense que la peinture a été volé à Grosz par son galeriste quand le peintre a du quitter l'Allemagne. MOMA ne répond pas. Mais je me suis trompé de portrait...celui que j'ai montré se trouve au Staatliche Kunsthalle à Mannheim et c'est le deuxième, posté par Parmigiano, qui est au Moma. Lequel, si on passe par le site officiel de MOMA, on ne trouve pas, seulement un blanc.:confused: :confused: :confused:. Même on ne trouve plus de peintures de Grosz du tout!

Quelqu'un d'autre

Fréquentait-il Chopin, Liszt, Eugène Delacroix par exemple ?

Plutot des Italiens :fleur: ou... des Anglais! :teatime:

Quelles mignonnes bouclettes... L'écrivain était-il anglais lui-même ?

he was, indeed

Est-il contemporain de Constable et Turner, fin XVIII et moitié XIX éme siècle ?

J'ai attendu un peu ... depuis "plutot des Italien ou ... des Anglais" mais voilà : :fleur:

C'est John Keats dessiné par son ami fidèle Charles Armitage Brown en 1819. Ce portrait qui est resté inconnu jusqu'à la donation par une petite fille de l'artiste se trouve à la National Portrait Gallery.

Oui, bravo Bama.
C'est bien lui et, pour moi, je dois l'avouer, plus qu'un poête, celui qui a insîpré deux des plus beaux romans de la science-fiction contemporaine (à part "Eridan" bien sûr ) "Hyperion" et surtout "La chute d'Hyperion" dans lequel un avatar cybernétique revit l'agonie du poête dans la Rome du début du XIXème siècle :fleur:

Alors cher Parmigiano , tu nous mets une nouvelle proposition ? (merci pour l'allusion Eridanesque :fleur: )

J'étais moi-même en déplacement et de retour aujourd'hui. Comme Bama que je laisse donc proposer un portrait. :fleur:

Oui, après the divine Keats je vous propose :



aussi poete. Ici un autoportrait: le poète dessinait.
Je n'avais pas le temps avant de partir, ma chère Cookie de mettre une nouvelle image comme j'en avais l'intention (re: toujours connecteé! )

Anglais?
XIXème?

ou bien français XXe ? :hihi:

XIXème et français :fleur:

Merci Bama
Jules Laforgue

"Oh! ce piano, ce cher piano,
Qui jamais, jamais ne s'arrête,
Oh! ce piano qui geint là-haut
Et qui s'entête sur ma tête!

Ce sont de sinistres polkas
Et des romances pour concierge,
Des exercices délicats,
Et La Prière d'une vierge!

..."

Dédié à ma voisine du dessus!! :pouah:

Bravo, Parmigiano :fleur:

J'aime beaucoup l'oeuvre de Jules Laforgue

Parait-il qu'il a beaucoup influencé certains poètes americains avec ses rythmes novateurs et son franc parlé .:mauvaisange:

Ses poèmes sur les Dimanches sont merveilleux; il y en a pour toutes les occasions, comme tu le constates

Reprenons une série :

L'écrivain suisse Edouard Rod avait un bien joli chat ! :cuore:

Il est représenté ici, en 1909, par son compatriote Ernest Biéler.

Bon! Je sais! IL n'y avait qu'à taper "ecrivain" et "portrait" sur un célèbre moteur de recherche pour trouver mon auteur. C'est d'ailleurs comme cela que je l'ai moi-même trouvé. Il n'empèche! Moi, je dis : chapeau Miss Prune!

écrivain + portrait + chat : et il apparaît dès la première page. Mais ce portrait est très beau, merci de nous l'avoir proposé, Parmigiano.

Et hop, on continue :

français ?

OUI Citron, l'écrivain comme le peintre.